Ipiales, Túquerres
Département du Nariño, ultime étape colombienne
Mercredi 7 Juin, 7h, nous partons de Salento sans nous retourner, avec un bus local qui nous amène à Armenia.
On ira peut-être à Cali pour un ou deux jours, paraît que
c’est la capitale de la salsa. Ou sinon juste pour la journée.
Avant toute
chose, on enregistre un message vidéo pour le papy d’Alexis car c’est son
anniversaire !!! Alors on en REprofite pour lui REsouhaiter un JOYEUX
ANNIVERSAIRE PAPYYY !! Avec toute notre affection pour tes 90 ans !!
Puis, on
prend un bus pour Cali et décide de ne pas rester finalement, et de prendre le
prochain bus pour aller…pour aller…pour aller où…autre question. Pasto ?
On a juste entendu le nom et on a un couchsurfer, mais si on prend le bus, on
arrivera à 2h du matin…
Ou alors on va directement à Ipiales, ville frontière avec l’Equateur.
Ou alors on va directement à Ipiales, ville frontière avec l’Equateur.
On a entendu parler de la super belle église au milieu d’un canyon, el santuario de las lajas. Bon c’est une église…
Ha mais pis y’a ce
volcan Azufral avec sa laguna verde. Bon on se décide après avoir cassé la
croûte, finalement pour prendre un bus Ipiales. Nous arriverons vers 4h du
matin, finirons la nuit dans le terminal et déciderons du programme là bas.
Rien de prévu pour demain.
Après une
nuit dans le bus, nous finissons effectivement notre nuit dans le terminal de
bus d’Ipiales.
Sur les
coups de 8h, nous laissons nos sacs à la consigne et partons prendre une
voiture collectivo, que l’on négocie à 8000 pour les deux (au lieu de 10000) car nous sommes les
seuls et, à cette heure, attendre 2 passagers en plus pourraient prendre du
temps. Direction el Santuario de las Lajas.
Le
sanctuaire Nestra Señora de las lajas est, depuis le XVIIIe siècle, un des
lieux de pèlerinage les plus importants d’Amérique du Sud. On remercie le
voyage de ne pas nous avoir amené là pendant la semaine sainte, il paraît que
c’est du délire.
Des ex-votos, sortes de plaques de céramique ou autre, avec
des messages et des témoignages, remercient Marie et montrent qu’elle n’oublie
personne. Enjambant le canyon formé par le rio Guáitara, l’église néogothique a
remplacé, pendant sa construction entre 1916 et 1949, une église datant du XIXe
siècle. Le canyon, profond, étroit est d’un vert fabuleux. Des cascades
viennent alimenter le rio quelques dizaines de mètres plus bas. C’est superbe.
On va se
promener en haut, d'où l'on voit l'immense canyon, en bas, où l'on se trouve dans le canyon, on remonte, on évitera le musée pour cause de flemme,
prix et faible intérêt pour nous.
Du coup, après s’être bien baladé, on rentre. On trouve un colectivo mais il manque 2 personnes alors on se dit qu’on va attendre le long de la route pour tendre le pouce au cas où.
Finalement, le taxi trouve deux passagers en plus, mais au moment où il va arriver vers nous, une voiture s’arrête et nous embarque. Un peu des scrupules pour le taxi. Encore que lui recevra ses 10000. C’est surtout pour les passagers…bon…pas très fiers mais tant pis.
La dame et sa fille nous posent au terminal, nous récupérons nos sacs et prenons le premier collectivo pour Túquerres.
Túquerres est une petite ville à 1h au nord ouest d’Ipiales. Elle n’a rien de spécial si ce n’est qu’elle est au pied du volcan Azufral qui abrite en son cratère une lagune de couleur vert émeraude.
On arrive sur la place principale de Túquerres. Une église, un parc et une grande tente pour un marché couvert de l’artisanat. On pose les sacs, Marine se repose et garde les sacs, Alexis, quant à lui, va faire un tour pour voir si il y a un office de tourisme…non y’a pas…mais y’a Vacca. Un colombien aux mini dreads de 43 ans qui vient de Pasto. Il est artisan et travaille à fabriquer et vendre des coliers, bijoux, constructions en fil de fer, pierres etc etc
Alexis discute avec Vacca et lui demande un hostel. Après lui en avoir montré un, il lui propose si on veut, aller passer la nuit à la finca de sa copine dans les hauteurs. Une impression de déjà vu ?
Alexis va manger avec Marine et on en parle tous les deux, puis on va s’asseoir avec Vacca et Pepinosa, son copain artisan aussi.
On est un peu mort de la nuit dans le bus et de la balade du matin, mais le courant passe bien avec Vacca et peu de temps après on rencontre Esperanza, sa copine, accompagnée de son fils de 14 ans, Karu.
On part du coup pour la finca avec eux. Esperanza ayant mal stationné sa voiture pendant la course qu’elle avait à faire, une fliquette au visage détendu arrive et nous dit de bouger la voiture. Pour la remercier de sa patience, Vacca lui offre une petite sculpture en fil de fer, un cœur avec écrit TE AMO. Bonne ambiance.
On quitte le village et on arrive sur des pistes de terre qui vont secouer. Esperanza passe le volant de la petite voiture à Karu qui apprend à conduire depuis 1 an…hé oui, ici on apprend à conduire tout seul, en dépit de la loi et de la police qui peuvent te faire payer cher. Bon Karu conduit bien, lentement mais bien…Vacca et Esperanza allume un pet’ et la marijuana embaume toute la voiture…euh bonne ambiance…héhé
Marine trouvera le voyage super long. Et pour cause, 1h à dérouler les pistes au beau milieu de la campagne profonde, doublés ou croisés par des motos ou autres 4*4.
Puis, enfin, on arrive. Karu ouvre le portail et rentre la voiture dans l’allée. Une moto gène l’entrée, on sort de la voiture et on finit la cinquantaine de mètre sur le chemin à pied, non sans penser à nos affaires restées dans la voiture.
La finca est grande, en torchi recouvert d’une couche de ciment.
Esperanza vit avec karu son fils, Luna sa fille de 7 ans, sa maman et sa tante, toutes les deux malades. Il y a quelques chambres. La cuisine rudimentaire avec un évier, une plaque de cuisson au gaz et un foyer pour chauffer au feu. Les sanitaires sont dehors avec un wc et la douche. D’autres habitants peuplent la ferme, des lapins, un coq énorme, un chat, plus loin vaches, chevaux et moutons partagent un pré.
Le coq...
le salopard de coq qui hurle depuis 2h30
Devant nous, les volcans Azufral et Cumbal se partagent, eux, l’horizon…enfin paraît-il…parce que là, ils sont cachés par les nuages…qui ne se lèveront pas, pas même le lendemain…
Vacca, Esperanza s’occupe de nettoyer la maison. Marine fait la sieste, Alexis joue avec Luna aux photographes, puis aide à faire un peu de ménage dans la chambre qui nous est finalement destinée.
Luna...
Notre chambre
On passera notre soirée à discuter avec Esperanza et Karu. Vacca fumant toute la soirée dans sa chambre…
Le moment est bien sympa. Esperanza cuisine et discute avec Alexis. Karu et Marine créent un jeu d’échec à base de cartons pour le plateau, de peau d’orange pour les pions et de fèves ou haricots pour les autres pièces et jouent une belle partie ( Merci mon papi andré pour m’avoir un jour appris a jouer aux echecs).
Aussi, nous parlons du français, de l’espagnol, de l’italien, du portugais que Karu connait bien, des similitudes et des différences entres toutes ces langues latines. Pour donner du corps à la discussion, nous lisons des livres dans les différentes langues pour pratiquer et s’excercer.
Nous parlons également des animaux, de ceux qu'on mange, ceux qu'on mange pas et on butte sur un mot d'un animal qu'il mangent ici en Colombie mais aussi au Pérou et Equateur, dont on n'arrive pas à trouver une traduction "Cuy"...
"Karu, va leur montrer ce que c'est que des Cuy" Karu nous emmène vers cet enclos:
...ouvre la bâche et nous voyons des...
...COCHONS D'IIIINDES !!!!
Le Cuy, du Quichua Quwi=cobaye) est une espèce de cochon d'inde géant. Et bien figurez vous qu'ici ça se mange !!! âmes sensibles s'abstenir..
Voici Mesdames et Messieurs:
Le Cuy cuit
Le Cuy cuit et écartelé
Ils sont en train de travailler sur un menu "Cuy cuit, écartelé et sodomisé avec un parkmètre" mais ils ont pas encore trouver de parkmètre assez petit
On a vraiment cru, jusqu'à ce qu'il referme la bâche que Karu allait en attraper pour nous faire goûter ce soir..
Sur ce, nous passons au repas, avec Vacca (mais sans Cuy), Luna arrivera plus tard, les grand-mères mangeront dans leur chambre.
Esperanza a tout pleins de projets pour cette finca. Permaculture, Bio-construction, éco-tourisme etc. On aura de longues discussions, partageant nos expériences et nos avis, ses envies et les possibilités.
Puis, enfin, nous allons nous coucher.
Le lendemain, nous nous levons vers 6h30 car Esperanza doit amener sa voiture pour le contrôle technique à 8h et après nous verrons si nous montons à la laguna verde ou pas, selon les nuages. Mais finalement, la famille tarde. Nous, on fait le café et un petit déj rapide pour être prêts rapidement, mais Esperanza fait un vrai petit déj, court de partout…bref…nous partirons finalement sur les coups de 9h…
Vacca est son sombrero fait main...les siennes
On arrive au garage pour le contrôle technique et on attend avec eux en jouant au morpion sur les pavés du parking.
Puis enfin, nous partons pour le volcan Azufral. Ils vont tous monter avec nous ! Génial ! Jusqu’à présent, on n’en était pas sûrs tellement c’était flou. Tout comme on ne sait pas si Esperanza va nous faire payer quelque chose, soit pour la nuit, soit pour le trajet jusqu’au départ du sentier pour la lagune…impression de déjà vu ?
Le principe est de monter un peu jusqu’à un refuge, laisser la voiture sur le parking et monter à pied. Un collectivo peut vous emmener et vous coûtera 15000 pesos selon Vacca…on ne saura jamais le vrai prix en fait, désolé de pas vous aider sur ce coup là…
La voiture a du mal à monter tellement on est lourds. Alors on finit le dernier Km à pied. On a pris nos sacs parce qu’on ne pense pas revenir dormir à la finca ce soir, parce que c’est un peu bizarre et pis ça fait super loin surtout pour demain pour repartir. Vacca aussi a pris ses affaires, on sait pas trop pourquoi, ils sont un peu en instance de séparation, mais continuent d’être ensemble. Lui, dit qu’il va partir ce soir, qu’il a besoin de travailler un peu pour payer le bus jusqu’à la frontière et qu’il a des amis à Tulcan, la ville frontière côté Equateur, et qu’on pourrait le suivre si on voulait, mais pourtant il vient marcher avec nous…enfin bref…flou qu’on vous dit comme situation !! Mais pas insécur’…
Alors nous voilà au refuge, on prend un manteau parce qu’il peut faire froid en haut. Et on y va. Vacca et Esperanza sont déjà morts haha…pauvres…
On nous avait dit qu’il fallait 2h pour monter + 1h pour descendre dans le cratère jusqu’à la lagune. Finalement, le sentier est presque carrossable, bien que ce soit interdit car le parc est protégé, mais c’est pour vous dire comment c’est large. Et si on n’avait pas attendu nos amis, on serait monté en 1h pour les quelques 5km qui restaient.
La balade est sympa même si la vue est un peu bouchée. Le volcan fait partie du Nœud de los pastos.
Le Nœud de los pastos ?? Que es esso ?? Bon alors la cordillère des Andes, la grande, la belle, quand elle arrive en Colombie, elle se sépare en deux, la cordillère centrale et la cordillère occidentale, puis, un peu plus haut, la cordillère orientale, constituant le 3ème doigt montagneux de la Colombie. A la naissance de la cordillère occidentale, les points culminants sont le volcan Chiles (4718m), Cumbal (4764m) et Azufral (4070m). Les hauts plateaux d’Ipiales, Tuquerres, Pasto font eux partie de la cordillère centrale.
Arrivés en haut, nous décidons tous les 3 de descendre les 700m jusqu’à la lagune et de remonter quand nous verrons Esperanza et Vacca en haut parce qu’on doute qu’ils voudront descendre et on voudrait s’approcher avant la pluie.
La laguna Negra
La laguna Verde
La descente est abrupte et on commence à sentir l’odeur du souffre. Hé oui parce que le volcan Azufral tient son nom du souffre qu'il produit et l’eau de la lagune…d’un incroyable vert, est chaude !!
C’est époustouflant !! Quelques geysers crachent au loin. On dirait que l’eau bout et quand on plonge la main, elle est chaude à certains endroits, froide à d’autres. C’est exceptionnel !!
La pluie nous chasse un peu trop tôt que ce qu’on aurait voulu et nos deux compères sont arrivés en haut.
Comme il y a une cabane pour s’abriter de la pluie, on monte. Mais la montée est vachement plus dure. Pfff…on s’essouffle. On a un peu démarré en brute et voilà qu’on tire la langue à la moitié de la montée, quand on voit la cabane pas tellement plus proche que quand on a commencé à monter.
Et quand on arrive en haut, Esperanza et Vacca nous disent « Et bah qu’est ce que vous faites ?? On descend, on va se baigner !! ». Comprenant que c’est une blague, on leur propose de manger avant. On mange notre pique-nique et on boit la bouteille de vin qu’Alexis s’est porté dans le sac.
Puis, Esperanza et Vacca descendent vraiment pour aller se baigner dans la lagune.
De notre côté, on discute entre nous 2 pour parler de la situation et du programme et empêcher Karu de descendre jusqu’à la voiture.
Finalement, on descend pour, nous aussi, aller nous baigner dans l’eau chaude, mais à la moitié, on voit que Vacca et Esperanza commencent à remonter.
On remonte ensemble, plus ou moins, et on rentrera doucement jusqu’à la voiture en parlant avec Karu de ce métier passionnant qu’est celui de professeur d’Activités Physiques Adaptées et de l’éducation en général.
Arrivés à la voiture, Esperanza qui pensait jusque là nous garder à dormir une nuit de plus pour nous emmener à la frontière demain, nous dit qu’elle ne pourra pas nous emmener tôt comme on voudrait (et comme elle nous avait proposé), ça tombe bien parce que nous on avait choisi de rester dormir à la ville. Peut-être un prétexte poli pour elle pour ne pas nous accueillir une nouvelle fois au milieu des milliards de choses qu’elle a géré. Alors on convient ensemble de nous laisser à la place principale. Et nous nous quittons sincèrement heureux de s’être croisés. La famille semble réellement apprécier les cadeaux que l’on lui fait, une carte de Lyon avec un petit mot, un collier de Marine et un livre en français.
Adieu et Merci Esperanza pour cet accueil. On te souhaite bonne chance dans tous tes projets et qui sait, un jour, viendrons nous jouer les volontaires dans ton petit coin de paradis campagnard. Merci à toi, Vacca, pour avoir été le déclencheur de cette rencontre bien sympa. Finalement, lui, laissera ses affaires à des copains à lui au marché couvert et rentrera à la ferme, invité par Esperanza…
Nous cherchons donc un hôstel. Une dame nous avait parlé de la chambre au dessus de son resto mais on la retrouve pas alors on se dirige vers l’hôtel dont nous avait parlé Vacca. On monte, on discute, on choisit la chambre et on a l’agréable surprise, au moment de payer, qu’il s’agit de 15000 pesos pour les deux. 2,5€ chacun pour une chambre matrimoniale, serviettes et Savon !!! wouhouhouh le luxe !!! On a une pensée pour Mireille et Cathy qui estimaient, dans les cabañas de la caratera australe, que la serviette était le minimum…nous, c’est un incroyable luxe haha !!
« Marine ? Je prends la rose ça te va ? »
La chambre est juste à côté de l’entrée et c’est une vitre qui fait la séparation avec le couloir. Il n’y a pas du tout d’insonorisation et, la nuit, on entendra à plusieurs reprises, la sonnette de l’hôtel jusqu’à ce que le « réceptionniste » descende ou que le sonneur abandonne quelques dizaines de minutes plus tard. Ils auront bien essayé de nous avertir et de nous proposer une autre chambre un peu plus loin, mais l’indescriptible paresse et la chaleur des couleurs de la première chambre nous feront refuser la chambre plus grande et moins belle.
La nuit sera malgré tout bonne et le matin, on se fait grasse mat. On a vu sur le GPS qu’il y a 2h30 entre la frontière et Quito notre prochaine étape...mais il ne faut pas toujours croire les GPS…
La suite…au prochain épisode…
Etat des troupes :
Alexis : Indiscutablement, la laguna verde vaut le détour ! C’est ouf !! Après n’ayez pas trop peur quand les gens vous disent que c’est une méga balade… Le sanctuaire de las Lajas, c’est joli aussi. Je suis content d’y être allé, en passant si près. Le travail d’architecture est bluffant. En revanche, je ne m’attendais pas à autant de maisons à côté, c’est vraiment dans un village en fait, et moi je pensais que c’était perdu au milieu d’un canyon. Une belle rencontre en les personnes de Vacca, Esperanza et Karu avec son lot de floutitude. Marine n’est pas très à l’aise dans ces situations et j’ai l’impression de nous embarquer dans des plans bizarres assez souvent. Mais j’ai du mal à concevoir un voyage d’hostel en hostel, et je suis convaincu que Marine non plus. Alors je reste ouvert aux opportunités de la vie et aux rencontres.
Marine : C’était une bien belle étape. Ipiales et l’église, c’était joli mais ce n’est pas ce qui m’a le plus marqué, même si je suis contente d’y être allée et de voir cette immense église au milieu de cet immense canyon. Par contre, le volcan Azufral et sa lagune verte plein de souffre, j’ai adoré. Les rencontres que l’on a pu faire avec la famille d’Esperanza m’a bien plu, même si c’est vrai que je ne suis pas toujours à l’aise au début, que j’ai toujours peur de déranger… c’était vraiment sympa de partager ce petit moment de vie avec cette famille dans la campagne perdu. La mère d’Esperanza et sa tante étaient deux petites mamies, très marquées et un peu fripées, mais qu’est ce que je trouve ça beau !!! Cela me rappelle mon tableau de petite vieille !!! Après c’est vrai que la route était un peu longue pour moi, surtout qu’ils fumaient, j’en étais un peu malade… mais ce n’est qu’un détail… c’était de chouettes moments et de chouettes rencontres, Merci à Alex de régulièrement faire ces premiers pas et de me pousser à l'encontre de mes réticences.
L'église !! On dirait celle dans le seigneur des anneaux c'est incroyable !
RépondreSupprimerJ'ai bien rigolé avec le pétard ! Alex ? J'espère qu'il ne les a pas jeté sur la route ?? Ahah
Le commentaire sur le coq m'a bien fait rire aussi !
Quand j'ai vu le cochon d'inde j'ai failli balancer un "c'est hyper dégeulasse !" ahah
Je suis bien heureuse d'avoir un peu plus de temps de vous lire depuis le temps que je n'étais pas venu.
Hâte de lire les autres articles.
Je pense bien à vous et vous fait des gros bisous !
Lolo
Toujours émerveillés par les petits coins que vous nous faites découvrir loin des sentiers battus par les touristes. Et aussi toujours étonnés par vos rencontres avec des gens inattendus qui aiment leur pays et ont plaisir à vous le faire partager, confirmant que vous n'êtes pas des touristes mais des gens comme eux ! Continuez bien. Bises H-JP&Benj
RépondreSupprimerNoooooo el cuy no se come!!!! es mascota!!!! Yo siempre he peleado para no comer cuy.... Ya que en Ecuador y mi familia lo come mucho!!!
RépondreSupprimerMoi qui aime le vert je suis servie ! Mais pour le coup elle inspire guère confiance pour la baignade ! Mais quel paysage ! Superbe !
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