Salut à tous !!!
On espère que tout va bien pour vous !!
Êtes vous prêts à poursuivre le voyage (avec presque pas beaucoup trop de retard) !? Aujourd'hui, nous traversons une nouvelle frontière et découvrons un nouveau pays...L'Equateur
N'oubliez pas ! Vous aussi, à votre tour, raccontez nous votre aventure, donnez nous de vos nouvelles ou simplement un petit commentaire !! C'est plus qu'important pour nous, c'est essentiel !!
Sans plus tarder, voici le récit de notre première étape au centre du Monde:
QUITO
Dors Ecuador...il pleut dehors, dors encore !!
Samedi 10
Juin, nous prenons le réveil relax dans notre petit hôtel de Tuqueres. Puis on
prend un café avec l’eau que nous avait fait chauffer le monsieur hier soir,
encore emmitouflé de la couette et cherchant l’autre bouteille d’eau chaude qui
nous a servit de bouillotte pendant la nuit.
Puis on décolle.
On prend un collectivo (non sans acheter des granadillas) qui nous ramène au
terminal d’Ipiales, puis un autre pour la frontière…on passe à l’immigration
Ça y’est
nous sommes en EQUATEUR !!!!
Après avoir
changé un peu de monnaie…en dollars américains…Hé Oui…on a appris hier qu’en
fait l’Equateur n’avait pas de monnaie nationale…c’est pour ça qu’on ne
trouvait pas sur les convertisseurs de devises…Depuis 10 ans, l’Equateur vit
avec le dollar américain…bah ça fout un coup quand même…pour nous qui savions
pas et pour qui le monde de l’économie internationale reste un endroit hostile
et obscure où nous avons peur de s’aventurer…
Pendant
qu’on discute sur là où il vaut mieux aller changer de l’argent, un anglais
vient nous parler, mais il parle tellement vite et en anglais que le contact ne
se fait pas et il s’en va prendre son collectivo.
De notre
côté, nous aussi nous prenons un collectivo que l’on paye 75 centimes de
dollars…hé oui, il va falloir s’habituer à compter presque comme en euro…
Nous sommes
à l’avant du van et on discute avec le chauffeur qui est bien sympa.
Il nous pose
au terminal de Tulcan et nous allons prendre un bus pour Quito.
On se fait
alpaguer par un chauffeur qui va partir tout de suite tout de suite et avec qui
on négocie le prix pour un billet à 5$ au lieu de 7$. On va vite au bus, le bus
démarre, on demande si il nous pose à playon de la Marin où nous on doit prendre
un autre bus pour aller chez notre couchsurfeuse, le deuxième gars nous dit oui
oui, on jette nos sacs à l’intérieur de la soute, le bus avance, nous fout la
pression, on monte, combien de temps on met pour arriver ? 5h…
QUOI ????? On est parti pour 5h de route à s’arrêter tout le temps, dans
un bus un peu pourri…et en plus…14h30 + 5h = 19h30…on arrivera de nuit à Quito
et plus tard que notre rendez vous à l’église du village d’Ana-Maria qui est 40
minutes plus loin…
Un trajet
pas agréable, avec le caissier (c’est comme ça qu’on appelle l’assistant du
chauffeur qui fait monter les gens, les fait payer etc etc) vraiment pas
aimable. Alexis lui demande si ils vont faire une pause pour nous permettre
d’aller aux toilettes par exemple, parce qu’il n’y en a pas dans le bus, il
nous dit dans 2h…bon c’est cool. Mais jamais on fera cette pause et quand à un
arrêt un peu plus long, Marine va lui demander si elle peut aller faire pipi,
elle se fait remballer méchamment…elle revient s’asseoir en colère…surtout
quand on sait que eux, ont pissé sur les arbres sur le terre plein central de
la rue…
Quand on
demande des infos sur la destination, il nous parle comme à des abrutis et ce
sont les passagers qui nous donnent l’info qu’on veut. En fait, le bus ne passe
pas par Playon de la Marin, qui est un terminal de bus, point stratégique du
réseau de transports en commun, mais à une autoroute où nous allons devoir
prendre un autre bus, puis l’autre bus comme prévu…une vraie galère et avec très
peu d’information et impossible de prévenir Ana-Maria…
Cette
situation nous échauffe et on finit par se prendre la tête nous aussi.
Quand on
descend du bus au milieu de l’autoroute, on est suffisamment en colère contre le
mec et tendus aussi entre nous pour ne pas lui répondre et aller chercher notre
bus.
On passe le
pont pour traverser l’autoroute du dessous que l’on rejoint et on attend un bus
pour playon de la Marin, mais on a un pressentiment et un Monsieur nous demande où
l’on va. On comprend que si l’on traverse de nouveau l’autoroute pour partir en
sens inverse, on va pouvoir directement trouver un bus qui va nous amener à
Alagansi, la ville d’Ana-Maria. Super !!
On traverse,
on prend le bon bus, on négocie, on se pose, on s’excuse, et on se réconcilie…
Arrivés à
l’église d’Alagansi, on demande à des mecs en train de boire un coup sous un
porche si ils peuvent nous prêter un portable pour passer un coup de fil…ils
acceptent, on appelle Ana-Maria, on raccroche et ils nous payent un coup
d’Aguadiente en attendant qu’elle arrive…Génial !!!
Le Pick-up
blanc d’Ana-Maria arrive, et elle nous embarque chez elle.
Ana-Maria a
31 ans, vit à Alagansi depuis 2 ans à peu près. 1 an après sa séparation, elle
accueille, en garde alternée, une semaine sur deux ses deux fils Joe, 16 ans
(on vous laisse faire le calcul) et Lyan, 12 ans. Les garçons n’arriveront
que demain soir dimanche. Nous faisons en revanche la connaissance de sophie,
Golden retriever de 10 ans, Wachito, fox terrier de 4 ans et Gaya chatte d’1 an
et demi…ça en fait du monde…
Ce soir,
notre couchsurfeuse a deux amis à la maison. Dayselis, cubaine et vétérinaire
des toutous de la maison et son copain Anibal, ami d’enfance d’Ana-Maria.
Une soirée
super sympa, où Ana-Maria cuisine pour nous un repas qui fait bien plaisir et
qui nous fait oublier nos tracas de l’après-midi. Tout est bien qui finit bien
comme on dit…
Ana-Maria, à gauche, Dayselis au centre, avec Marine
Rajoutons à cela Anibal et Alex
Marine va se coucher, Alexis reste un peu. On apprend des mots Quichua, la variante équatorienne du quechua péruvien, qui sont utilisés dans l’espagnol d’Equateur, dont voici un petit aperçu :
Atatay = algo de feo = quelque chose de nul, pourri, moche
Achachay =que frio= quelque chose de froid
Arrarray =que calor= quelque chose de chaud
Carishina =mujer que no save hacer nada en la casa = Expression machiste dénigrant une femme comme une femme inutile qui ne sait pas faire les tâche ménagères à la maison. Mais peut se user en mode taquinerie douce.
Warmilla =Hombre que hace las cosas de la casa = Autre expression machiste dénigrant un homme qui ferait, lui, les tâches ménagères à la maison et serait un homme soumis devant la femme qui porte la culotte.
Mucha= besos = bisous
Chuticas= chuta = que pena = expression pour dire « quel dommage »…
Attention ! « Que chimba » indique, à l’exact contraire que les voisins colombiens, quelque chose de carrément nul, terrible…faudrait songer à se mettre d’accord les amis…
Chuchaqui (peut-être pas quichua mais usée ici)= resaca= gueule de bois
(Attention ! Interrogation écrite à notre retour !!)
Sur ce, Alexis rejoint Marine dans le grand lit à disposition et va reposer son corps et sa tête…
Alagansi est situé dans la vallée de los Chillos au sud de Quito, la capitale qui est au dessus de tout le monde, culminant à 2850m. Et aujourd’hui, Ana-Maria veut nous montrer la fabuleuse lagune de la Mica près du volcan Antisana (5704m) au sommet enneigé !!
Nous nous levons vers 8h30 et partons vers 10h après un super petit déj à base de fruit, un petit croque monsieur au fromage et un café. La route est bien abîmée et il y a des méga trous, ce qui amène des méga secousses à l’intérieur de la voiture. Nous discutons tout le trajet et longeons le canyon puis arrivons à la réserve écologique Antisana. La végétation paraît sèche, il y a plein de chaudoudou, mais en réalité, le sol est gorgé d’eau.
On se laisse hypnotiser par les grandes plaines ondulées jaunes et vertes, puis on aperçoit, caché par les nuages, le volcan Antisana.
Enfin, on arrive à la lagune la Mica. Un grand lac au milieu des collines. C’est bien joli. Ils ont construit une petite route pour un des bâtiments de la réserve, et c’est presque dommage…
On va au premier mirador. Puis Ana-Maria nous dit de monter pour voir plus haut. Elle ne montra pas mais on se retrouvera à la voiture.
Alors c’est parti, nous montons par la droite de la colline et arrivons, essoufflés, en haut. Et le fabuleux volcan se dévoile enfin un peu !! C’est superbe !!
On redescend de l’autre côté et on voit au loin une dizaine de voiture arriver, on croise pleins de gens qui montent…on se dit qu’on a bien fait de passer par là où on est passés parce qu’ils ont l’air d’en chier et, en plus, de partir à l’heure ou tout le monde arrive !!
On retrouve Ana-Maria et on rentre. On sort de la réserve puis on fait une pause à un restaurant qui a un jardin et un point de vue le fleuve et le canyon superbe. Le mec nous propose d’aller visiter le refuge un peu plus bas…bueno…avec sa super petite maison, pas très chère, il sème dans nos têtes des idées qui pousseront peut-être plus tard.
On vous laisse apprécier la maison, le point de vue et les colibris.
Masque traditionel d'une fête locale...
Le jeu est de deviner...
Qui est qui...??
Avant de rentrer, on passe au centre commercial pour faire quelques courses. Demain, Marine s’est proposée de faire une quasiflette !!! On en ressort avec une note astronomique de 60$ pour pourtant pas grand chose...là ça fait pas rire…
Quand on rentre, il est 14h30 et nous n’avons toujours pas mangé. Alors Ana-Maria cuisine un repas super bon et qui fait du bien par là où il passe !! Et c'est là que nous goûtons de super fruit, la Pita jaya, selon nous, ça se rapproche un peu du kiwi enfin avec un goût légèrement different que Marine apprécie énormement... d'ailleurs Ana-Maria sera tellement marquée par la tête de Marine lorsqu'elle mange ce fruit, qu'elle lui en redonnera un petit bout du sien... et oui, Marine en a les yeux qui pétillent
La pita jaya
Ana-Maria passera la fin de son après-midi à faire un peu de ménage et partira chercher ses fils pour revenir vers 21h30.
Nous, on travaille sur le blog et on se repose. Puis on mange.
Nous faisons la connaissance des garçons et, alors que le plus jeune va se coucher, partageons en 4 quelques bières artisanales achetées au centre commercial. C’est l’avantage d’avoir eu des enfants hyper jeunes…tu peux picoler avec eux
Finalement, tout le monde va se coucher.
Le lendemain, Lundi, pendant qu’Ana-Maria passe une journée de folie, à droite à gauche, en train de courir de partout, aller chercher les chiennes de sa sœur, revenir, faire un peu de ménage, se doucher, aller poser les chiennes à la toiletteuse, revenir, faire à manger, aller chercher les chiennes, manger, retourner à Quito, revenir chercher les chiennes et ses fils, retourner chez sa sœur etc etc etc…et bah nous on glande rien…on aura passé notre journée à travailler sur le blog qui nous prend vraiment mais vraiment beaucoup de temps !! Qu’est ce qu’on ferait pas pour les quelques personnes qui le lisent et qui nous suivent et qui nous le font savoir… Mais non ! C’est pour nous qu’on le fait !!
18h, Marine s’attaque à la quasiflette…Pendant qu’Alexis termine les derniers mots de ce compte rendus...
Quasiflette= successfull auprès de la famille !!
Mardi 13 juin, on se réveille avec la pluie qui n’a pas cessé depuis hier soir. Nos hôtes sont en mode dimanche, au diable le réveil à 5h45 pour aller à l’école. On perd la motiv’ de bouger ce matin, peut-être cet aprèm…ou pas…
Marine et Ana-Maria passent toute la matinée à jouer avec fils, fil de fer, perles. Elles fabriquent des bijoux, s’échangent des idées, elles s’éclatent comme des folles. Alexis passe sa journée sur l’ordi…une de plus…pas bon…
les bricoleuses en action !
On change notre programme finalement, on partira Jeudi directement pour Zumbahua. On est bien ici et Ana-Maria est vraiment super top. On va avoir du mal à la quitter…
Repas avec le reste de quasiflette et une poelée de légumes frais « Ana-MARINienne ». Lyan, 12 ans, edad de burro, l’âge de l’âne…, Joe, 16 ans, âge de l’adolescence
Lyan nous dit enfin, après 2 jours de marinage, comment on dit bon anniversaire en quichua…on se rappelle juste que ça ressemblait un peu à « Aguacate con pan »
Lyan à gauche, Joe au centre, et Ana-Maria à droite
Petit cours de guitare avec, entre autre, "Sweet dreams" de Marylin Manson
Ana-Maria aussi jouait il y a quelques années
mais n'a pas voulu nous montrer...que Pena !!
Mercredi, alors que les jeunes ont raté leur bus pour l’école et se dirigent donc vers un nouveau dimanche (mais ça, nous ne le saurons que le soir), nous nous levons, certes un peu tard mais déterminés à sortir.
C’est décidé, nous partons voir le centre du monde !! Nous prenons le bus jusqu’au terminal Playon de la marin, dans le centre, puis un autre bus jusqu’au terminus la Ofelia, puis encore un autre bus pour Calacali…pour à peu près 2h40 de voyage…C’est long…très long. Marine le redoutait un peu. Mais bon au moins, on a vu Quito défiler sous nos yeux, ses avenues purement citadines avec ses magasins, ses pizzerias et ses écoles supérieurs, universités etc…Puis les montagnes…
L’Equateur…en plus d’être un pays, l’équateur est une ligne imaginaire qui marque la séparation de l’hémisphère sud et l’hémisphère nord de notre planète.
Histoire des monuments : en fait, on y comprend rien…on a plein d’info différentes. Tellement, on y comprend rien que l’on renonce, une fois n’est pas coutûme à vous faire un petit laïus historique…par contre si vous avez la vraie histoire on est preneur !! On sait que si on en fait tout un flanc ici (alors que la ligne passe par d'autre pays, le brésil, le Kenya, en Asie) c'est parce que la première mission géodésique (science ayant pour but de déterminer les dimension et la form de la Terre), dirigée par des scientifiques français d'ailleurs, est venue étudier le phénomène de la ligne équinoxiale ici même en Equateur entre 1736 et 1744, en écoutant plus ou moins (plus moins que plus d'ailleurs) les indigènes et leur science locale à eux.
En gros, y’a deux monuments. Un très grand de 30m de haut (3$), avec musée(4$), pleins d’explications, pleins d’expériences sympa.
Comme par exemple, faire tenir un œuf debout sur un clou, ou alors voir la différence de rotation de l’eau dans un bac quand on ouvre le siphon. Au nord et au sud… ça tourne pas dans le même sens !! Dingue non ?? On serait aussi plus léger à l’équateur qu’aux pôles, pour des histoires de forces et tout ça…pour des histoires de manteaux aussi, parce qu’il fait froid dans les pôles, mais ça, ça n’a rien à voir.
Et il y a un petit monument à Calacali, 20 minutes plus loin. Là où passe la vraie ligne de l’équateur.
Nous on commence par celui là…le vrai…
Après avoir vu, à USHUAÏA, la fin du monde, la grande ville la plus au sud du monde, nous voilà pile au centre de la planète !!
Entre nous 2, les émotions sont différentes.
Discussion avec des gamins de l’école « Ligne équinoxiale ». Ils nous offrent biscuits, barres de céréales, lait de soja, la collation de leur école.
Latitude 0 !!
Puis on redescend et comme Marine est moins emballée qu'Alexis et que nous avons plus trop de temps, on passe devant le grand monument et le musée sans s’arrêter et on va marcher dans le centre.
Petite note : nous voyons un bâtiment immense, hyper moderne, qui dénote un peu avec le reste et qui en fait se trouve être le siège de l’Union des nations sud-américaines (UNASUR)…leur union européenne à eux…
Le centre historique de Quito tout en montée: Eglise église église, lieux de culte, église église palais présidentiel avec une grande place. On marche un peu. On voit la statue de la vierge là haut, mais on n’ira pas la voir.
Des flics à tous les coins de rues…on comprend peu à peu qu’on se rapproche du palais présidentiel.
un garde du palais pestinenciel,
sous couvert de l'anonymat... joli coup le photographe !
Rue de la montée du plaisir...moi ça me fait rire...
La classe des équatoriens
Cathédrale de Quito avec ses deux horloges donnant une heure différente
Puis retour et soirée avec nos hôtes. Un apéro dégustation de bière à 4 puis un super repas avec un gâteau à la banane et un chocolat chaud. On leur fait découvrir la chartreuse. Réactions bien drôles.
Echanges de musique puis Adieu…somme toute difficiles.
Le lendemain, nous prenons un dernier petit déj avec Ana-Maria puis nous nous en allons. Dire au revoir à Ana Maria est difficile et c’est à ce moment qu’on se rend compte à quel point on a accroché avec elle. On a partagé tellement en si peu de temps, les repas, les bijoux, la bière, la balade et en plus elle comprenait l’humour d’Alexis, et c’est pas rien !!
Ensemble nous avons fait sécher des graines de Granadilla pour les faire pousser à notre retour...et ça, ça renforce des liens !!
Un immense Merci à toi Ana-Maria pour ces quelques jours. On espère que tu auras appris quelques mots de français ou que tu as un super google traduction pour comprendre tout le bonheur qu’on a eu à te rencontrer. A très bientôt, on espère !!
Etat des troupes:
Marine: J'étais vraiment bien chez Ana-Maria, je serais bien restée un petit peu plus encore. C'etait tellement chouette de passer une journée à bricoler, à échanger avec elle, ça m'a fait du bien.
Je suis contente de retrouver un peu plus les montagnes et le frais, on a même vu la neige au loin !!!
Sinon, c'est vrai que jétais un peu moins emballée de me faire du bus pour aller voir la mitad del mundo, mais je suis contente d'y être allée.
Quito est une grande ville avec un centre historique plutôt joli de l'extérieur et on aura appris qu'à Quito, ils font comme à Lyon, ils ont une fête des lumières.
Chose drôle, dans cette ville, il y a plein de voitures comme la mienne, tite pensée à Jean-phi... en fait c'est pas des Daewoo Nubira ici, ce sont des optra de chevrolet. Oui car en fait, Chevrolet a racheté Daewoo et Chevrolet est la marque de voiture que l'on trouve le plus en Equateur... y a même des matiz. c'est quand même fou de devoir aller à l'autre bout du monde pour rencontrer des voitures comme la sienne :)
Encore merci à Ana-Maria et sa petite famille, c'étaient vraiment 4 jour géniaux en votre compagnie.
Alexis: Et une frontière de plus ! Et un nouveau pays! Bien que petit (un tiers de la superficie de la France), L'Equateur semble être un pays riche en diversité avec les plages de la côte pacifique (que ça), les montagnes de la cordillère (et d'aujourd'hui) et la forêt de l'Amazonie (de poule). Première étape, Quito...on en a pas vu grand chose. le centre du monde...ça m'a fait quelque chose mais je ne saurais définir quoi...j'ai toujours été un peu fasciné par les phénomènes géo-physiques...sans pour autant prendre le temps de m'y intéresser plus que ça...ça aurait été l'occasion...tant pis...j'irais voir au Kenya...
Quito, ça sera surtout une rencontre vraiment super. Ana-Maria et ses 2 fils sont vraiment de belles personnes et je suis content de les avoir trouvé sur notre route, au détriment peut-être de la ville en elle-même...mais tout le monde sait que ce ne sont pas forcément les lieux où l'on va qui construisent les voyages, mais les personnes que l'on rencontre...
Pour ceux qui se poseraient la question, mon poignet va mieux, même si porter quelque chose de lourd me fait toujours un peu mal...aller faire pipi par exemple... :))))
Quito, ça sera surtout une rencontre vraiment super. Ana-Maria et ses 2 fils sont vraiment de belles personnes et je suis content de les avoir trouvé sur notre route, au détriment peut-être de la ville en elle-même...mais tout le monde sait que ce ne sont pas forcément les lieux où l'on va qui construisent les voyages, mais les personnes que l'on rencontre...
Pour ceux qui se poseraient la question, mon poignet va mieux, même si porter quelque chose de lourd me fait toujours un peu mal...aller faire pipi par exemple... :))))
Et vous ?? Quel est votre état des troupes??? (©L)
Des Bisous à tous !!
Ça fait drôle de vous entendre parler de bouillotte et de neige quand à 23h on a encore 29 degrés!
RépondreSupprimerBravo l'expérience de l'eau qui tourne ds les 2 sens ! Combien de distance entre les 2 lieux d'expérience? 1 m ?
Profitez bien du frais ici on est liquides !
Ola ! ici Lyon...bien bien je suis "un peu" votre périple...histoire de savoir si je vais revoir mon collègue du Grapillon ! On s'est fait une rencontre foot avec St Vincent de Paul et ton remplaçant du Grapillon (Sébastien,qui était bien moins facile à joindre que toi...mais bon ça a pu se faire !). Voili voilou...tu reviens alors ? et quand ?? Profites bien quand même hein !!
RépondreSupprimerFaçon Bobby Lapointe : "Quitte à quitter Quito et le quichua, t'as qu'a conté en quetchua ahora" ! Eh oui c'est l'effet canicule ici, petits veinards qui rentrez dans l'hiver ! "mucha" o "besos". H-JP&Benj
RépondreSupprimerles quiero mucho!!! Siempre los llevo en mi corazón (shungo en Quichua) para mi y Joe fue muy dificil la despedida y mas con la postal que nos dejaron... una experiencia preciosa con ustedes en casa... la casa tenia mas color y alegría con ustedes !!!
RépondreSupprimerlos 60usd no fueron solo de la quartiflette fue mucho dinero en quesos y cervezas.... jajaja asi que no solo fue por la comida...
Gracias por darnos vida en su estancia... ahora yo aprendo frances en el celular (google y duolingo son mis amigos) me dejaron muchas mas ganas de salir a viajar y aprender idiomas... me dejaron con el alma llena de aventuras por vivir...
Lamento no haber hecho mas por ustedes, pero ahora lo hago con cada persona que llega a mi casa... pero ustedes serán inolvidables...
Espero que la granadilla pueda vivir en Francia... ya que es un pedacito de Alangasí...
les queremos mucho ANA MARIA, JOE Y LIYAN!!! MUCHAS MUCHAS!!!KISS KISS
BABAS DE SOFHIA, WACHITO Y GAIA (la gata extrañó mucho a Marine por mucho tiempo, la gata iba a dormir en el cuarto donde ustedes dormían)